dimanche 17 juin 2007
jeudi 14 juin 2007
"Quand l’armée américaine planchait sur une "bombe gay" "
Un article est apparu hier (13/05/07) sur le site internet du figaro qui m'a étonné par son contenu...., c'est peut être un canular...
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Un document militaire de 1994 évoque la création d’une arme chimique destinée à "rendre homosexuels" les combattants ennemis.
Des hélicoptères américains disperseront-ils un jour du gingembre, des huîtres, ou de la poudre de corne de rhinocéros au-dessus des tranchées des talibans ? L’idée est en tout cas passée par la tête des chercheurs de l’US Army, qui ont même envisagé de développer une « bombe gay ».
« Un exemple dégoutant mais totalement non-létal serait un puissant aphrodisiaque, en particulier si ce produit chimique provoque des attitudes homosexuelles », indique ainsi une note écrite en janvier 1994 par un laboratoire de l’US Air Force (consulter le document en PDF).
Déjà évoqué sur certains sites spécialisés depuis 2005, ce document a été rendu public récemment par le « Sunshine Project », un groupe qui milite contre les armes chimiques. On y apprend que le laboratoire réclamait 7.7 millions de dollars sur six ans pour mener à bien ce projet en l’an 2000, après plusieurs essais in vivo. La note précise toutefois que « les produits chimiques susceptibles d’affecter le moral et l’efficacité des unités restent à créer ».
Après sa publication, le document a provoqué l’indignation d’associations gays américaines, qui soulignent que de nombreux homosexuels ont servi loyalement l’armée américaine.
Le Pentagone relativise
Interrogé par CBS, le Pentagone a assuré que l’idée, simplement évoquée au cours d’un « brainstorming », avait été balayée d’un revers de main, et qu’aucune « bombe gay » n’était en développement dans ses labos. Une affirmation que conteste le « Sunshine Project », qui soutient que la note incriminée a été régulièrement distribuée dans des CD-Rom de promotion des armes non-létales à vocation interne.
Le document de 1994 évoquait plusieurs autres pistes d’armes chimiques des plus originales, sur lesquelles le « Sunshine Project » souhaite également attirer l’attention (un florilège des armes non-létales imaginées par les militaires américains). "
Laurent Suply (lefigaro.fr).
« Un exemple dégoutant mais totalement non-létal serait un puissant aphrodisiaque, en particulier si ce produit chimique provoque des attitudes homosexuelles », indique ainsi une note écrite en janvier 1994 par un laboratoire de l’US Air Force (consulter le document en PDF).
Déjà évoqué sur certains sites spécialisés depuis 2005, ce document a été rendu public récemment par le « Sunshine Project », un groupe qui milite contre les armes chimiques. On y apprend que le laboratoire réclamait 7.7 millions de dollars sur six ans pour mener à bien ce projet en l’an 2000, après plusieurs essais in vivo. La note précise toutefois que « les produits chimiques susceptibles d’affecter le moral et l’efficacité des unités restent à créer ».
Après sa publication, le document a provoqué l’indignation d’associations gays américaines, qui soulignent que de nombreux homosexuels ont servi loyalement l’armée américaine.
Le Pentagone relativise
Interrogé par CBS, le Pentagone a assuré que l’idée, simplement évoquée au cours d’un « brainstorming », avait été balayée d’un revers de main, et qu’aucune « bombe gay » n’était en développement dans ses labos. Une affirmation que conteste le « Sunshine Project », qui soutient que la note incriminée a été régulièrement distribuée dans des CD-Rom de promotion des armes non-létales à vocation interne.
Le document de 1994 évoquait plusieurs autres pistes d’armes chimiques des plus originales, sur lesquelles le « Sunshine Project » souhaite également attirer l’attention (un florilège des armes non-létales imaginées par les militaires américains). "
Laurent Suply (lefigaro.fr).
lundi 11 juin 2007
Dj Poutine: le Hit Dance été 2007!!!
Le spot TV de la campagne présidentielle de Vladimir Poutine, diffusé sur les chaînes télévisées russes.
Sarkozy éméché au sommet du G8
PS: si vous avez compris la cohérence de son discours, dites vous que vous avez assez bu!!!
dimanche 10 juin 2007
Biographie de Charlie Parker(1920-1955)
Charlie parker, surnommé" Bird" ou "yardbird", a été l'un des plus importants et influents saxophoniste de jazz dans les années 1940, et son influence se ressent encore aujourd'hui.
Il a élevé le saxophone alto à des niveaux jusque là inconnus, de par ses improvisations innovantes et ses brillants solos, de la même manière que Coleman hawkins et Lester young ont pu le faire pour le saxophone tenor avant lui.
Fils de Charles et Addie Parker, il passe sa jeunesse à Kansas city, dans le missouri, ou le jazz, le blues et le gospel sont des musiques à la mode. Ses premiers contacts avec la musique se passent à l'école ou il joue du baryton dans l'orchestre de l'école; à quinze ans, il montre un grand interêt pour la musique et une préférence pour le saxophone alto.
Jusqu'en 1935, il joue dans des groupes locaux puis quitte l'école pour poursuivre une carrière de musicien.
De 1935 à 1939, il joue à Kansas city dans des groupes de jazz et de blues locaux au sein desquels il développe son art.En 1939, il visite New York pour la première fois et il y restera environ une année, au cours de laquelle il travaillera comme musicien professionnel en participant à des jam sessions.
L'atmosphère de New York influencera considérablement le style musical de Charlie Parker.
En 1939, il rejoint le big band du pianiste Jay Mcshann au sein duquel il restera jusqu'en 1942 et fera son premier enregistrement en 1940.Il aura l'occasion de faire de brillantes improvisations dans quelques uns de leurs enregistrements comme "hootie blues", "sepian bounce" et en 1941 "confessing the blues".
En 1942, durant la tournée avec Mcshann, il participera à des jam sessions au "Monroe’s and Minton’s Playhouse" à Harlem au cours desquelles il attirera l'attention d'artistes comme Dizzy Gillespie et Thelonious Monk. A la fin de cette année là, il quitte Mcshann et rejoint Earl hines pour huit mois.
1945 est une année très importante pour Charlie Parker.Il conduit son propre groupe à New York et travaille aussi avec Dizzy Gillespie dans quelques ensemnbles. En décembre de cette même année, Parker et Gillepsie présenteront leur nouvelle musique à Hollywood au cours d'une tournée de six semaines dans des nightclub. Parker continue de jouer à Los angeles jusqu'en juin 1946. Brisé par ses excès, il est alors hospitalisé pour dépression nerveuse à Camarillo.
De retour à New York en janvier 1947, il forme un quintet avec Max Roach, Duke Jordan, Tommy Potter et un jeune trompettiste du nom de Miles Davis, avec lesquels il enregistrera une partie de ses airs les plus célèbres.
De 1947 à 1951, il joue dans d'innombrables clubs et studios de radio et est invité en europe pour une série de concerts.Le 5 mars 1955, sera le jour de son dernier contrat public au "Birdland", un nightclub qui porte son nom en son honneur.Il meurt une semaine plus tard, à l'âge de 35 ans, chez une amie la baronne Nica de koenigswater.
Il a élevé le saxophone alto à des niveaux jusque là inconnus, de par ses improvisations innovantes et ses brillants solos, de la même manière que Coleman hawkins et Lester young ont pu le faire pour le saxophone tenor avant lui.
Fils de Charles et Addie Parker, il passe sa jeunesse à Kansas city, dans le missouri, ou le jazz, le blues et le gospel sont des musiques à la mode. Ses premiers contacts avec la musique se passent à l'école ou il joue du baryton dans l'orchestre de l'école; à quinze ans, il montre un grand interêt pour la musique et une préférence pour le saxophone alto.
Jusqu'en 1935, il joue dans des groupes locaux puis quitte l'école pour poursuivre une carrière de musicien.
De 1935 à 1939, il joue à Kansas city dans des groupes de jazz et de blues locaux au sein desquels il développe son art.En 1939, il visite New York pour la première fois et il y restera environ une année, au cours de laquelle il travaillera comme musicien professionnel en participant à des jam sessions.
L'atmosphère de New York influencera considérablement le style musical de Charlie Parker.
En 1939, il rejoint le big band du pianiste Jay Mcshann au sein duquel il restera jusqu'en 1942 et fera son premier enregistrement en 1940.Il aura l'occasion de faire de brillantes improvisations dans quelques uns de leurs enregistrements comme "hootie blues", "sepian bounce" et en 1941 "confessing the blues".
En 1942, durant la tournée avec Mcshann, il participera à des jam sessions au "Monroe’s and Minton’s Playhouse" à Harlem au cours desquelles il attirera l'attention d'artistes comme Dizzy Gillespie et Thelonious Monk. A la fin de cette année là, il quitte Mcshann et rejoint Earl hines pour huit mois.
1945 est une année très importante pour Charlie Parker.Il conduit son propre groupe à New York et travaille aussi avec Dizzy Gillespie dans quelques ensemnbles. En décembre de cette même année, Parker et Gillepsie présenteront leur nouvelle musique à Hollywood au cours d'une tournée de six semaines dans des nightclub. Parker continue de jouer à Los angeles jusqu'en juin 1946. Brisé par ses excès, il est alors hospitalisé pour dépression nerveuse à Camarillo.
De retour à New York en janvier 1947, il forme un quintet avec Max Roach, Duke Jordan, Tommy Potter et un jeune trompettiste du nom de Miles Davis, avec lesquels il enregistrera une partie de ses airs les plus célèbres.
De 1947 à 1951, il joue dans d'innombrables clubs et studios de radio et est invité en europe pour une série de concerts.Le 5 mars 1955, sera le jour de son dernier contrat public au "Birdland", un nightclub qui porte son nom en son honneur.Il meurt une semaine plus tard, à l'âge de 35 ans, chez une amie la baronne Nica de koenigswater.
Volée ou Perdue?
Est ce que ça vous arrive de perdre une voiture? et croire qu'elle a été volée?
en tout cas.... j'ai fini ma soirée du vendredi au commissaireat pensant que la voiture d'une copine a été volée. mais à notre grande surprise, les flics nous apprennet le lendemain, que la voiture n'a pas bougé de sa place..... comme quoi parfois il ne ft pas prendre le volant
en tout cas.... j'ai fini ma soirée du vendredi au commissaireat pensant que la voiture d'une copine a été volée. mais à notre grande surprise, les flics nous apprennet le lendemain, que la voiture n'a pas bougé de sa place..... comme quoi parfois il ne ft pas prendre le volant
Georgyo, votre dealer de la Great black music
Enfin ma 1ere emission sur Tunizika.com est en ligne.
En attendant la mise en place définitive de mon Podcast perso sur ce blog, j'anime une emission sur www.tunizika.com. Que de la musique urbaine: soul, funk, jazz, rap, slam, blues, r'n'b, gospel, spirutual.... bref, si vous disposez d'un enregistrements, je le fais passer sur les Ondes de tunizika.
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